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Description
Aujourd’hui, le marché du travail est influencé par plusieurs facteurs. Parmi ses facteurs, le progrès technique se classe au haut niveau. De façon simple, les méthodes de travail sont réorganisées par l’utilisation de plusieurs outils techniques. C’est l’exemple du domaine industriel, où le système de robotisation a pris le dessus et envoie les personnes qualifiées au chômage. Les progrès techniques ont donc un réel impact sur le marché du travail dans ce sens qu’ils modifient les conditions de l’emploi. Cet article vous donne plus de détails.
L’émergence de la mécanisation : le progrès technique qui influe le marché du travail
Le véritable progrès technique dont le domaine du travail a bénéficié ces dernières années est la mécanisation. Aujourd’hui par rapport à hier, beaucoup plus de machines sont utilisées dans les usines et les entreprises. L’objectif étant d’accroître la productivité. L’impact qui résulte de ce progrès technique est donc la naissance de nouvelles tendances d’emploi. Le travail à la main est moins important qu’hier. Cela implique que le travailleur d’aujourd’hui doit avoir en plus de sa simple force physique, des connaissances techniques adaptées au monde de travail moderne. Par ailleurs, les progrès technologiques qui ont vu le jour lors de la pandémie de la COVID-19 ont abouti à la genèse du télétravail. Cette évolution technique a eu aussi quant à elle, un réel impact sur le marché du travail.
Les progrès techniques à l’origine des déséquilibres sur le marché du travail
L’influence des progrès technologiques se fait ressentir doublement sur le marché du travail. Elle est aussi à l’origine des déséquilibres sur le marché du travail. En raison des mutations de la mécanisation d’une part, les entreprises n’ont besoin que du personnel strict pour faire fonctionner les machines. Cela induit alors une hausse relative du taux de chômage, car une main-d’œuvre beaucoup moins importante est requise. D’autre part, le marché du travail devient de plus en plus sélectif obligeant le travailleur d’aujourd’hui à se former plus. Plus un travailleur a de compétences techniques, moins il a de chances de finir au chômage.